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Livre international

著者: RFI
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  • Tous les samedis, un journaliste de la rédaction rencontre un auteur de livre consacré à l’actualité internationale. L’occasion d’approfondir un sujet précis qui fait -ou non- la Une de l’actualité internationale.

    France Médias Monde
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あらすじ・解説

Tous les samedis, un journaliste de la rédaction rencontre un auteur de livre consacré à l’actualité internationale. L’occasion d’approfondir un sujet précis qui fait -ou non- la Une de l’actualité internationale.

France Médias Monde
エピソード
  • Le néoconservatisme américain, un mouvement idéologique complexe à ne pas caricaturer
    2025/01/11

    Aux États-Unis, un courant de pensée a souvent été sous les projecteurs : le néoconservatisme. On lui associe souvent une politique étrangère « agressive », notamment celle menée par l'administration de George W. Bush au Moyen-Orient au début des années 2000. Le néoconservatisme est en réalité un mouvement bien plus ancien et plus complexe, qui a développé une vision particulière des affaires intérieures comme internationales. Dans Le néoconservatisme américain. La démocratie pour étendard, aux éditions PUF, Pierre Bourgois entend justement montrer la richesse idéologique de ce courant. Ce maître de conférences en science politique à l'université catholique de l'Ouest, à Angers, revient sur ce mouvement.

    À écouter aussiConflit Israël-Hamas: «La pression médiatique joue dans l'évolution du discours de Joe Biden»

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    13 分
  • «Poutine Lord of War», de Peer de Jong
    2025/01/04

    Cet essai est une plongée au cœur de la vision de la guerre imposée par le chef du Kremlin. Poutine Lord of war (Poutine, Seigneur de guerre), de Peer de Jong, docteur en sciences politiques et co-fondateur de l’institut Themiis, détaille l'agenda du président Poutine qui a intégré les conflits comme des options réalistes.

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    5 分
  • «Couchsurfing en Ukraine», de Stephan Orth
    2024/12/28
    Notre livre international de cette semaine nous emmène en Ukraine. L’auteur allemand Stephan Orth a passé huit mois dans ce pays en pleine guerre. Non pas en tant que journaliste, mais en tant que « couchsurfer », c'est-à-dire, comme voyageur qui se fait inviter chez des habitants. Il écoute leurs histoires, est impressionné par leur courage et leur volonté de vivre. De cette expérience intense, il a écrit un livre, intitulé : Couchsurfing en Ukraine, publié aux éditions allemandes Malik. Un livre qui retrace le quotidien d’une population confrontée à la guerre déclenchée par la Russie le 24 février 2022. Stephan Orth répond aux questions d’Achim Lippold. RFI : Vous avez déjà visité beaucoup de pays pour dormir chez l’habitant : l’Iran, la Russie, la Chine, entre autres. Mais cette fois, vous avez choisi un pays en guerre depuis presque trois ans. Pourquoi ce choix ? Stephan Orth : Il y avait des raisons personnelles, car mon ex-petite amie vit à Kiev. Je suis donc allé fréquemment en Ukraine pendant la guerre. On peut dire que nous avons eu la « bonne » idée de devenir un couple juste après le début de la guerre. J’ai continué à me rendre à Kiev en train, puisqu'aucun avion ne vole vers l’Ukraine. À un moment donné, je me suis dit : « Puisque je prends le risque insensé de passer autant de temps dans cette guerre, pourquoi ne pas y associer un projet de livre ? ». L’éditeur était partant, et j’avais le sentiment que l’intérêt pour cette guerre diminuait déjà, au début de 2023. Pourtant, sur place, cette guerre terriblement violente continuait à faire rage, et j’ai pensé qu’il fallait la raconter davantage, en adoptant une perspective plus personnelle et intime.Comment les gens vous ont-ils accueilli ? Je me suis vraiment posé la question : est-ce que c'est approprié de demander de l’hospitalité en ce moment, alors que les Ukrainiens traversent une guerre ? Peut-on aller chez les gens, dormir sous leur toit. Mais finalement, mes craintes se sont vite envolées. Les Ukrainiens qui m’ont accueilli, m’ont assuré qu'ils le faisaient de bon cœur. L’un d’eux m’a dit : « Vous, les Allemands, vous avez accueilli un million d’Ukrainiens, donc on peut bien accueillir un Allemand chez nous ! ». Franchement, j’ai été très bien reçu. Il y avait ce sentiment d’égal à égal. Je veux dire, je ne suis pas venu en tant que journaliste de télé avec toute une équipe et une grosse caméra pour juste prendre deux-trois témoignages et repartir. Non, j’ai vraiment partagé leur quotidien, j’ai vécu la guerre avec eux. Et je pense que ça crée une proximité particulière, une relation plus humaine.Vous décrivez une situation un peu absurde. Vous louez une voiture et l’agence vous appelle chaque fois que vous approchez de la ligne de front.Exactement ! Avec un photographe, on avait loué une voiture pour quatre jours, dans la région de Donetsk. Mais bon, petit problème : vous n’êtes pas assuré dans ces zones-là. Et je me disais souvent : si quelque chose arrive à cette Volkswagen T-Roc, il faudra la rembourser, et ce n’est vraiment pas donné ! Chaque fois qu’on s’est trouvé à 20 km de la ligne de front, à portée d'artillerie russe, l’agence de location nous appelait en nous demandant de faire demi-tour. Visiblement, ils suivaient nos déplacements ! En fait, dans le contrat, il n’y avait pas d’interdiction de circuler près du front, mais ils tenaient à nous avertir.Vous expliquez aussi comment les Ukrainiens cherchent une normalité, même en pleine guerre. Ils vont à l’opéra, sachant que la représentation peut être interrompue à tout moment par une alerte aérienne. Ça vous a surpris, cette façon de s’adapter ?Ah oui, ça m’a beaucoup marqué. Je ne pouvais pas imaginer à quel point les gens s’habituent à une situation aussi extrême. Moi, j’ai choisi d’aller en Ukraine, de m’exposer à ce conflit. Personne ne m’y obligeait. Mais les Ukrainiens, eux, n'ont pas le choix. Ils n’avaient aucune expérience de la guerre, et pourtant ils s’y sont adaptés. Leur quotidien s’est ajusté à cette réalité. Des choses qui nous paraîtraient incroyables deviennent banales pour eux. C’était une vraie leçon de voir comment l’humain s’adapte dans des situations très difficiles.Pendant ces huit mois en Ukraine, vous avez rencontré beaucoup de gens. Y a-t-il une personne qui vous a particulièrement marqué ?Oh oui, il y avait beaucoup de rencontres marquantes, mais je pense à Polina, de Zaporijjia. Une jeune femme très engagée depuis le premier jour de la guerre. Avec ses frères et des amis, elle a monté une association de bénévoles pour distribuer de l'aide humanitaire et collecter des dons. Aujourd'hui, elle travaille pour les ambulances et aide à évacuer les soldats blessés du front. Elle sauve des vies, tout en ...
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    4 分

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