Pour ce dixième et dernier épisode, Le Goût des Nôtres vous emmène entre les Côtes d’Armor et la Loire-Atlantique, avec, même, quelques escapades à Londres, Vancouver et Auckland, pour vous raconter l’histoire d’une mère, Dominique Boscher, et de son fils, Caradec Boscher.

L’une a tenu un restaurant, A la table de Margot, à Binic, en baie de Saint-Brieuc. L’un y a travaillé, un temps, avant d’ouvrir sa propre adresse, le Restaurant Cara, à Saint-Sébastien-sur-Loire, en bordure sud de Nantes.

Chez les Boscher, une chose est sûre : le goût pour la cuisine, c’est de famille.

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Pour ce neuvième épisode, Le Goût des Nôtres part aux confins de l’Ile de France, en Essonne, dans le petit hameau d’Aubray.

C’est au milieu de ces champs labourés que se trouve la ferme de Fabien Legendre, une exploitation de 400 hectares tenue par sa famille depuis les débuts du XIXe siècle.

Après six générations d’agriculture conventionnelle, après une première carrière de paysagiste, Fabien Legendre s’est décidé à reprendre l’exploitation, et passer la ferme d’Aubray au bio. Non sans mal.

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Pour ce huitième épisode du Goût des Nôtres, nous partons en Bretagne, près de Quimper, à la ferme de Kerveguen, là même où sa famille est installée depuis quatre générations, que sévit Jonas Le Gall, paysan et meunier.

Au champ et ou moulin, il cultive des céréales puis les transforme en farines biologiques. L'une de ses spécialités ? Le sarrasin.

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Pour ce septième épisode du Goût des Nôtres, partons dans le Maine et Loire à la rencontre de Sarah Pétreault et Killian Conesa.

 Ce tout jeune couple a décidé de s’installer sur une parcelle d’une dizaine d’hectares pour y mener à bien son projet d’agroécologie et de maraichage bio.

Ces jeunes agriculteurs se sont récemment implantés dans le Segréen, une région avec laquelle ils ont un lien affectif très puissant. Le terrain sur lequel ils se sont installés était encore récemment la ferme des grands-parents de Sarah.

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Pour ce cinquième épisode du Goût des Nôtres, partons à Nozay dans l’Aube à la rencontre de la famille Simphal. Chez les Simphal, on est agriculteurs de père en fils depuis plusieurs générations.

Yves Simphal a repris l'exploitation de son grand-père en 1975. Sur les terres de la ferme, il cultive notamment des céréales, des pommes de terre et des betteraves sucrières. Il a même développé une entreprise de stockage et de commercialisation de pommes de terre, il y a une quinzaine d’années.

Puis l’âge de la retraite s'est approché. Yves s’est longtemps posé la question de la succession. Si Yves a grandi en passant ses étés dans les champs, à récolter des pommes de terre, ses cinq enfants, eux, n'ont que très rarement mis les mains dans la terre. Encouragés par leur père à s’émanciper loin de la ferme, ils ont pris d’autres chemins.

Et pourtant, récemment, l’exploitation a connu une petite révolution. Fanny, la fille d’Yves, a décidé d’abandonner une brillante carrière dans les institutions internationales pour travailler avec son père à la ferme puis prendre sa relève, avec ses convictions.

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Pour ce quatrième épisode du Goût des Nôtres, prenons le large ou un long pont et mettons le cap sur un bout de terre à l’horizon des côtes de la Charente Maritime, à l’Île de Ré. 

Alors ok, l’île tire son charme de ses plages, ses marais salants, ses nombreuses pistes cyclables et ses maisons traditionnelles couleur crème. Mais en traversant l’île d’Est en Ouest, vous atteindrez le village d’Ars-en-Ré. Et ici, sous le regard du Phare des Baleines, vous pourriez faire la rencontre de Bertrand Héraudeau. 

Il y a deux ans, celui qui compte à son palmarès le titre de meilleur confiturier de France 2018, a repris le flambeau de sa mère, Françoise, qui tenait, ça tombe bien, les Confitures du Clocher, fort d’une petite réputation sur l’île.

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Laurent Gauthier, aussi connu sous le nom de "LoloChampi", est champignonniste dans le Loir-et-Cher, du côté de Villavard.

Dans ses 5 kilomètres de cave, Laurent Gauthier cultive des champignons.

Avant, il en produisait près de 140 tonnes. Aujourd'hui, il se limite à 1,5 tonnes. Mais c'est pour monter en gamme et se battre pour l'obtention d'une Appellation d'Origine Protégée (AOP), « le petit Vendôme », pour ses champignons.

Ancien champion de France et vice-champion du monde de jet-ski à bras, il est devenu champignonniste car son père l’était.

Ses enfants ne le seront pas forcément, mais sauront sans doute transmettre, à leur manière, cette passion champignon.

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