Aujourd’hui, c’est du père dont nous allons parler ; plus précisément, de la relation père-fille, et plus précisément encore, de la conséquence de l’absence de père dans la vie d’une femme.

Pour la psychologie, le caractère indispensable de la figure paternelle n’est plus à démontrer.

et si garçons et filles peuvent subir les conséquences néfastes de l’abandon paternel, ce phénomène est connu pour affecter les femmes manière drastique.

Qu’est-ce qu’un père ?

Quel est son rôle ? En général, et pour les filles plus particulièrement ?

Quelles conséquences pour une femme d’avoir grandi sans père ? Quelles solutions ?

Ce sont les questions auxquelles je vais tenter de répondre dans ce podcast en deux parties.

Partie 2 : Quelle relation père fille ? Quelles conséquences engedre l'absence de père ? Quelles solutions ?

Bibliographie

• Brown, G. L., Mangelsdorf, S. C., & Neff, C. (2012). Father involvement, paternal sensitivity, and father−child attachment security in the first 3 years. Journal of Family Psychology, 26(3), 421–430.
• Le Camus, Jean. « Chapitre III. L’ouverture au monde le père comme agent de socialisation », , Le Vrai Rôle du père. sous la direction de Le Camus Jean. Odile Jacob, 2000, pp. 39-51.
• Hurstel, Françoise. « Le regard du père », Adolescence, vol. 223, no. 3, 2004, pp. 553-560.
• Bohler, Sébastien. « Pères et filles : une relation magique ! », Cerveau & Psycho, vol. 90, no. 7, 2017, pp. 8-8.
• Korff-Sausse, Simone. « Que faut-il pour faire un père ? », Dialogue, vol. 214, no. 4, 2016, pp. 15-26.
• De Neuter, Patrick. « Réflexions sur les fonctions du père dans les familles d’aujourd’hui », Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, vol. 54, no. 1, 2015, pp. 119-133.
• Izcovich, Luis. « Du Nom-du-Père au père qui nomme », Champ lacanien, vol. 3, no. 1, 2006, pp. 23-31.
• Castetter, Carlee, "The Developmental Effects on the Daughter of an Absent Father Throughout her Lifespan" (2020). Honors Senior Capstone Projects. 50.
• Le Camus, Jean. « Chapitre II - Les interactions père-bébé », , Le Père éducateur du jeune enfant. sous la direction de Le Camus Jean. Presses Universitaires de France, 1999, pp. 43-80.
• Krohn, F. B., & Bogan, Z. (2001). The effects absent fathers have on female development and college attendance. College Student Journal, 35
• La Guardia, A. C., Nelson, J. A., & Lertora, I. M. (2014). The impact of father absence on daughter sexual development and behaviors: Implications for professional counselors. The Family Journal, 22(3), 339–346.
• Levy-Shiff, R. (1982). The Effects of Father Absence on Young Children in Mother-Headed Families. Child Development, 53
• Brown , S. J. (2018). The lived experience of daughters who have absent fathers: A phenomenological study
• Culpin, I., Heron, J., Araya, R., Melotti, R., & Joinson, C. (2013). Father absence and depressive symptoms in adolescence: findings from a UK cohort. Psychological Medicine, 43(12), 2615–2626
• Brown, G. L., Mangelsdorf, S. C., & Neff, C. (2012). Father involvement, paternal sensitivity, and father-child attachment security in the first 3 years. Journal of family psychology : journal of the Division of Family Psychology of the American Psychological

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Aujourd’hui, c’est du père dont nous allons parler ; plus précisément, de la relation père-fille, et plus précisément encore, de la conséquence de l’absence de père dans la vie d’une femme.

Pour la psychologie, le caractère indispensable de la figure paternelle n’est plus à démontrer.

et si garçons et filles peuvent subir les conséquences néfastes de l’abandon paternel, ce phénomène est connu pour affecter les femmes manière drastique.

Qu’est-ce qu’un père ?

Quel est son rôle ? En général, et pour les filles plus particulièrement ?

Quelles conséquences pour une femme d’avoir grandi sans père ? Quelles solutions ?

Ce sont les questions auxquelles je vais tenter de répondre dans ce podcast en deux parties.

Partie 1 : Qu'est-ce qu'un père et quel est son rôle ?

Bibliographie

• Brown, G. L., Mangelsdorf, S. C., & Neff, C. (2012). Father involvement, paternal sensitivity, and father−child attachment security in the first 3 years. Journal of Family Psychology, 26(3), 421–430.
• Le Camus, Jean. « Chapitre III. L’ouverture au monde le père comme agent de socialisation », , Le Vrai Rôle du père. sous la direction de Le Camus Jean. Odile Jacob, 2000, pp. 39-51.
• Hurstel, Françoise. « Le regard du père », Adolescence, vol. 223, no. 3, 2004, pp. 553-560.
• Bohler, Sébastien. « Pères et filles : une relation magique ! », Cerveau & Psycho, vol. 90, no. 7, 2017, pp. 8-8.
• Korff-Sausse, Simone. « Que faut-il pour faire un père ? », Dialogue, vol. 214, no. 4, 2016, pp. 15-26.
• De Neuter, Patrick. « Réflexions sur les fonctions du père dans les familles d’aujourd’hui », Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, vol. 54, no. 1, 2015, pp. 119-133.
• Izcovich, Luis. « Du Nom-du-Père au père qui nomme », Champ lacanien, vol. 3, no. 1, 2006, pp. 23-31.
• Castetter, Carlee, "The Developmental Effects on the Daughter of an Absent Father Throughout her Lifespan" (2020). Honors Senior Capstone Projects. 50.
• Le Camus, Jean. « Chapitre II - Les interactions père-bébé », , Le Père éducateur du jeune enfant. sous la direction de Le Camus Jean. Presses Universitaires de France, 1999, pp. 43-80.
• Krohn, F. B., & Bogan, Z. (2001). The effects absent fathers have on female development and college attendance. College Student Journal, 35
• La Guardia, A. C., Nelson, J. A., & Lertora, I. M. (2014). The impact of father absence on daughter sexual development and behaviors: Implications for professional counselors. The Family Journal, 22(3), 339–346.
• Levy-Shiff, R. (1982). The Effects of Father Absence on Young Children in Mother-Headed Families. Child Development, 53
• Brown , S. J. (2018). The lived experience of daughters who have absent fathers: A phenomenological study
• Culpin, I., Heron, J., Araya, R., Melotti, R., & Joinson, C. (2013). Father absence and depressive symptoms in adolescence: findings from a UK cohort. Psychological Medicine, 43(12), 2615–2626
• Brown, G. L., Mangelsdorf, S. C., & Neff, C. (2012). Father involvement, paternal sensitivity, and father-child attachment security in the first 3 years. Journal of family psychology : journal of the Division of Family Psychology of the American Psychological

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Partie 2/2

Dans cette deuxième partie, "Ma critique de l'hypersensibilité", j'émets une critique personnelle de ce concept tel que présenté au grand public.

J’explique pourquoi et comment l'hypersensibilité est devenue un phénomène de mode, quel terreau favorable a permis une épidémie d'hypersensibles, et je précise pourquoi je pense qu’il est important de proposer un autre point de vue sur la question.

*Les deux parties ont été écrites pour former un tout, chacune apportant des informations complémentaires/précisions sur l'autre.

De même, dans cet épisode, l'hypersensibilité, les études et autres informations la concernant ne seront pas abordées dans leur exhaustivité, seuls les points pertinents pour l'épisode 2 seront soulevés.

------------------------------

Références bibliographiques :

• Nathalie Boisselie, Sur les sables mouvants : l’hypersensibilité, 2022
• Estellon, Vincent. « Figures et formes des états limites », Le Carnet PSY, vol. 160, no. 2, 2012, pp. 26-30.
• Hypersensible, un mot fourre-tout ?", Le Carnet PSY, vol. 160
• Aron, E. (2010). Psychotherapy and the highly sensitive person : Improving outcomes for that minority of people who are the majority of clients.
• Aron, E., & Aron, A. (1997). Sensory-processing sensitivity and its relation to introversion and emotionality. Journal of Personality and Social Psychology, 73(2), 345‑368.
• (....)

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Partie 1/2

Aujourd’hui, nous allons parler d'hypersensibilité comme vous en avez rarement entendu parler. Car je ne suis pas ici pour vous rabâcher ce que vous avez déjà lu sur instagram et entendu sur youtube. Je veux vous proposer une approche critique du phénomène de mode qui entoure ce concept.

Dans cette première partie, je serai factuelle : je me pencherai d’abord sur la genèse du concept tel que développé par Elein Aaron et, ensuite, je m'intéresserai à son versant médiatique.

Là, je laisserai plus libre court à mon constat personnel.

Puis j’explorerai quelques réalités cliniques qui entourent cette terminologie.

Dans la deuxième partie, "Ma critique de l'hypersensibilité", j'émettrai une critique personnelle de ce concept tel que présentée au grand public.

J’expliquerai pourquoi et comment l'hypersensibilité est devenue un phénomène de mode, quel terreau favorable a permis une épidémie d'hypersensibles, et je préciserai pourquoi je pense qu’il est important de proposer un autre point de vue sur la question.

*Les deux parties ont été écrites pour former un tout, chacune apportant des informations complémentaires/précisions sur l'autre.

De même, dans cet épisode, l'hypersensibilité, les études et autres informations la concernant ne seront pas abordées dans leur exhaustivité, seuls les points pertinents pour l'épisode 2 seront soulevés.

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Références bibliographiques :

• Nathalie Boisselie, Sur les sables mouvants : l’hypersensibilité, 2022
• Estellon, Vincent. « Figures et formes des états limites », Le Carnet PSY, vol. 160, no. 2, 2012, pp. 26-30.
• Hypersensible, un mot fourre-tout ?", Le Carnet PSY, vol. 160
• Aron, E. (2010). Psychotherapy and the highly sensitive person : Improving outcomes for that minority of people who are the majority of clients.
• Aron, E., & Aron, A. (1997). Sensory-processing sensitivity and its relation to introversion and emotionality. Journal of Personality and Social Psychology, 73(2), 345‑368.
• (....)

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