Un bureau comme sanctuaire, une tempête comme muse. Dans l’intimité feutrée du Dr Mendelssohn, Sandra s’abandonne à une houle puissante, un souffle qui réveille le souvenir brûlant de Jules. Au Café de l’Industrie, l’art se mêle au désir : une main trace des lignes vibrantes sur le papier, l’autre effleure une peau, presque par hasard. Les regards sont des promesses, les gestes, des murmures. Sensuel et envoûtant, ce chapitre célèbre la beauté brute des corps et des âmes qui se cherchent. Une ode à la création, au mystère, à l’éclat fragile de l’instant.
Directrice de production, conteuse : Lola Matisse
Directeur artistique, auteur : Milo da Ponte
Mise en son, réalisation : François Jouhet
Réalisation de la couverture : Laurence Brenda Duvernoy
Musique de l’acte IV: Octave noir (Patrice Moriceau)
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Pascal Szulc (Egyptian them)
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