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La douleur lombaire: on ne traite pas des vertèbres mais une personne!
- 2024/03/06
- 再生時間： 24 分
- ポッドキャスト
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サマリー
あらすじ・解説
Plusieurs d’entre nous savons qu’il se fait de la recherche sur la doouleur chronique mais la question qui nous est souvent posée est : est-ce que c’est utile, à qui et à quoi ça sert finalement la recherche? La recherche devrait servir à mieux outiller les patients et aussi les cliniciens pour qu’ils et qu’elles puissent mieux intervenir auprès de leurs patients souffrant de douleur. A-t-on des exemples concrets de l’utilité de la recherche pour améliorer la qualité des soins de personnes souffrant de douleur
chronique? Et bien la répponse est : oui !
Dans l'épisode d'aujourd'hui, Dr Luc J. Hébert s’entretiendra avec le Professeur Yannick Tousignant-Laflamme, professeur titulaire en physiothérapie à l’Université de Sherbrooke et chercheur au Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke. Comme chercheur, Dr Tousignant s’intéresse à la douleur depuis de nombreuses années et tout particulièrement à la douleur lombaire dont la prévalence est extrêmement élevée chez les vétérans canadiens. Nous allons discuter
plus spécifiquement des stratégies de gestion de la douleur et en particulier de la douleur lombaire dans le contexte d’une approche globale; comme le dit si bien Dr Tousignant : On ne traite pas des vertèbres, on traite une personne!
chronique? Et bien la répponse est : oui !
Dans l'épisode d'aujourd'hui, Dr Luc J. Hébert s’entretiendra avec le Professeur Yannick Tousignant-Laflamme, professeur titulaire en physiothérapie à l’Université de Sherbrooke et chercheur au Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke. Comme chercheur, Dr Tousignant s’intéresse à la douleur depuis de nombreuses années et tout particulièrement à la douleur lombaire dont la prévalence est extrêmement élevée chez les vétérans canadiens. Nous allons discuter
plus spécifiquement des stratégies de gestion de la douleur et en particulier de la douleur lombaire dans le contexte d’une approche globale; comme le dit si bien Dr Tousignant : On ne traite pas des vertèbres, on traite une personne!