Dans l’épisode précédent, Ludivine nous a raconté comment, lors de sa troisième échographie, elle a appris que leur premier enfant avait un grave problème cardiaque.

Un choix impossible s’est imposé à elle et à Cyril : poursuivre la grossesse ou tenter une naissance prématurée avec toutes les incertitudes que cela implique.

Aujourd’hui, c’est Cyril qui prend la parole.

Il nous plonge dans l’intimité de ces instants où tout semblait s’effondrer.

Comment continuer à avancer alors que les erreurs médicales s’accumulent, que l’inquiétude ronge et que l’avenir de son enfant reste en suspens ?

Entre force et vulnérabilité, Cyril nous raconte son combat en tant que père et mari.

Ce n’est pas seulement une histoire de survie, mais une réflexion sur ce que signifie être présent, même dans les moments les plus incertains.

Cyril partage des leçons de vie fortes : l’importance du soutien mutuel, la gestion des émotions dans la tempête, et ce qu’il a appris sur lui-même à travers ces épreuves.

Bonne écoute.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ludivine est enceinte et lorsque passe l’échographie du 3e trimestre, elle se s’attend pas à ce qu’elle va apprendre.

Son premier enfant a un grave problème cardiaque.

Un choix impossible s’offre à elle et son mari Cyril :

• Interrompre la grosse

• La poursuivre à son terme, mais avec une faible chance de survie de l’enfant

• Provoquer une naissance prématurée et tenter des opérations

C’est cette dernière possibilité qu’ils choisissent.

Ils entrent alors dans un tourbillon de doutes, de longs moments d’attente, de peur et d’erreurs médicales.

La situation est si compliquée, que leur est mis à mal.

Mais aujourd’hui Livio a 13 ans. Il restera marqué par ces épreuves et doit encore subir des opérations, mais Ludivine et son mari Cyril ont su créer une famille aux liens très forts grâce à ses épreuves.

Car après Livio, ils ont donné naissance à deux autres enfants.

Je vous invite à écouter l’épisode jusqu’au bout, car un beau moment d’émotion le clôture et dans deux semaines, c’est Cyril qui nous racontera cette histoire avec un angle différent.

Bonne écoute.

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Martine rêve d’une vie pleine de sens, portée par ses passions et ses rêves. Elle a également une profonde envie : construire une famille solide et épanouie.

Mais tout bascule le jour de son accident, à 23 ans. Il l’a laisse en fauteuil roulant, et son quotidien devient un véritable défi.

Face à cette nouvelle réalité, Martine doit réapprendre à vivre : accepter son corps, affronter les regards extérieurs et, surtout, trouver la force de continuer à bâtir cette famille dont elle rêve tant.

Ça n’a pas été facile, mais son courage et sa détermination l’ont guidée à chaque étape.

Aujourd’hui, Martine nous raconte comment elle a transformé cet accident en une histoire d’amour et de résilience, et comment cette famille, qu’elle a chèrement construite, est devenue le cœur de sa vie.

Bonne écoute.

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Séléna a 13 ans et une vie classique d’adolescente qui se cherche. Et les choses ne vont pas s’améliorer.

D’abord avec le divorce de ses parents, mais aussi parce qu’elle reçoit un jour un sms du frère d’une de ses meilleures amies.

Il lui dit qu’elle est à l’hôpital et que ça ne va pas.

S’ensuit un mélange de panique et d’incompréhension.

Et quelques jours plus tard, le 14 février 2011, Selena apprend le décès d’Audrey.

Audrey avait des problèmes cardiaques et Séléna lui a partagé sa passion de l’équitation.

Ç’a été la source d’un fort sentiment de culpabilité.

Séléna a dû se poser beaucoup de questions et mettre des mots sur ce qu’elle vivait pour avancer et trouver la force de vivre avec ce deuil.

Tout en se demandant comment aurait été sa vie si Audrey était toujours vivante.

Cette épreuve a donné une vraie force à Séléna. Elle connait l’importance de la vie et de dire ou faire les choses pour ne pas regretter.

Même si elle voit ce passage de sa vie avec de la tristesse, elle est aujourd’hui apaisée par rapport à cette épreuve qui fait qui elle est aujourd’hui et comme elle le dit, c’est pour ça qu’elle nous raconte son histoire aujourd’hui.

Bonne écoute.

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6 mois de prison avec sursis et 25000€ d’indemnisation à payer.

C’est la condamnation qu’a reçue mon invité après la bagarre de trop.

Dans ce nouvel épisode d’Histoires Kintsugi, mon invité, qui souhaite rester anonyme, a accepté de partager son histoire particulière. Pour beaucoup, il est l’agresseur.

Mais peut-on voir les choses autrement ?

Une enfance dans un contexte où la violence existe, le divorce de ses parents dans lequel il se retrouve impliqué malgré lui et un mauvais entourage amical lui a fait prendre le chemin de la violence.

De bagarre en bagarre, il trouve une échappatoire à ce contexte familial instable.

Mais un jour, c’est la bagarre de trop.

C’est aussi l’électrochoc dont il avait besoin pour reprendre une vie normale et apaisée.

Quelques années après, et victime de ses propres actes, mon invité nous raconte comment il reste marqué par cette soirée dont il porte toujours des stigmates.

Mais aujourd’hui il entreprend de nouvelles actions pour tourner définitivement cette page.

Cet épisode, c’est aussi l’occasion de se rappeler que nous pouvons tous commettre des erreurs, qui peuvent parfois être graves, mais qu’avec de la volonté, on peut évoluer pour ne pas s’enfermer dans une mauvaise direction.

Bonne écoute.

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Si ces récits résonnent avec vous, soutenez le podcast par une note de 5 étoiles et un commentaire.

Vous connaissez quelqu'un qui pourrait partager son histoire ? Contactez-moi sur Instagram "Histoires.Kintsugi" ou par mail à l'adresse thibault@histoires-kintsugi.fr

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ATTENTION : nous rentrons dans le détail d'une des tentatives de suicide de Nolwenn. Si ce passage est trop compliqué à écouter, vous pouvez bien évidemment le passer.

Nolwenn vit une adolescence compliquée, comme beaucoup d’ado.

Et dans son cas, les choses sont allées loin.

Elle vit des histoires d’amour interdites, des agressions sexuelles et un décalage avec les gens de son âge.

Elle trouve refuge dans la lecture et l’écriture. Mais ce qu’elle lit la pousse dans des pensées sombres.

Elle a maintenant un objectif : se suicider avant ses 18 ans. Elle va tenter de le faire à plusieurs reprises.

Comment s’en sortir quand on a pour objectif de mettre fin à ses jours ?

Comment accepter qu’un homme rentre dans sa vie et lui faire découvrir l’amour ?

Elle a eu du mal a accepté cette nouvelle situation, mais s’est investie pour sortir des ses idées noires.

Aujourd’hui professeure de philosophie, elle trouve toujours une échappatoire dans l’écriture.

Mais elle valorise cette écriture différemment, et utilise son expérience pour aider d’autres personnes avec lesquelles elle s’identifie.

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Pour retrouver le texte dont Nolwenn parle c'est à cette adresse : https://minimumvital.home.blog/category/fantome-de-novembre/

Le mot de passe est : kintsugi

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Comment peut-on vouloir mettre fin à sa vie alors qu’on a coché toutes les cases de la vie parfaite ?

Dans ce nouvel épisode d’Histoires Kintsugi, Christelle nous raconte comment on peut publier des vidéos montrant une vie parfaite sur les réseaux sociaux, alors qu’on a envie d’arrêter de vivre.

Elle a pourtant coché toutes les cases du succès, comme on l’imagine. Elle a un mari, des enfants, une jolie maison et une situation professionnelle confortable.

Mais ne court-elle pas après une histoire qui n’est pas la sienne ?

Dans cette discussion nous allons parler de la quête du bonheur, de la difficulté de se montrer sous son vrai visage parfois et des conséquences que ces choses peuvent avoir sur notre vie.

Nous allons également parler de courage, de prise de conscience et d’envie de créer sa propre histoire, avec les règles que nous définissons.

Bonne écoute.

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Eté 2003, mon père décède devant moi.

Je le résume comme ça, mais il est en réalité décédé deux jours après être tombé sous mes yeux.

Parce que oui, c'est moi qui ai du donner l'alerte.

Je suis le seul à avoir vu cette scène.

Comment se construit-on quand, à 12 ans, tu es projeté dans le monde des adultes ?

Dans la logique des choses, un parent décède avant son enfant. Mais pas quand celui-ci a 12 ans.

J’ai du me construire avec des sentiments particuliers parfois, des moments de faiblesse, et puis il a fallu avancer.

Tout n’a pas été simple, mais le support de mes proches et de l’aide extérieure m’ont permis de tracer ma route malgré cette épreuve.

Aujourd’hui, je vous raconte mon histoire pour le 10è épisode du podcast

Celui-ci est né en 2003 je crois, mais il a fallu du temps pour qu’il voit le jour.

J’ai pris la place de mes invités, pour répondre aux questions que je pose habituellement et j'espère que cet épisode vous plaira.

Bonne écoute.

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