エピソード

  • Le Cœur des rois : la malédiction de Martin Drölling (2ème partie)
    2024/10/30

    Par une matinée comme les autres, le Prince Ferdinand-Philippe, Duc d’Orléans, met le pied dans invraisemblable affaire. A l'occasion d'Halloween, accompagnons le temps d'une lecture ce personnage intrépide et débonnaire tel que l'imagine en 1907 Hans Heintz Ewers, dans une des nouvelles les plus gothiques et les plus sombres de son œuvre. Invité à une danse macabre par le peintre Martin Drölling, le Prince pénètrera dans la nuit profonde d’un atelier sépulcral, sale et sordide – antre de la goule ou de l’esthète rendu fou par la haine et ivre de son art...

    Sous la plume décadente d’Ewers, précurseur de la littérature horrifique, nous entrons dans un précieux moment d'épouvante ou le conte-à-faire-peur rencontre la Grande Histoire. Pour vous narrer cette ténébreuse légende qui murmure encore de nos jours un sinistre soupçon sur un tableau conservé au Musée du Louvre, nous avons invité Rémi Ethuin, comédien et Ami de la rédaction, à interpréter cette nouvelle en deux épisodes.

    Écriture : Joséphine Journel
    Lecture : Rémi Ethuin
    Montage et arrangements sonores : Nicolas Bousser & Julien Bousser

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    33 分
  • Le Cœur des rois : la malédiction de Martin Drölling (1ère partie)
    2024/10/30

    Par une matinée comme les autres, le Prince Ferdinand-Philippe, Duc d’Orléans, met le pied dans invraisemblable affaire. A l'occasion d'Halloween, accompagnons le temps d'une lecture ce personnage intrépide et débonnaire tel que l'imagine en 1907 Hans Heintz Ewers, dans une des nouvelles les plus gothiques et les plus sombres de son œuvre. Invité à une danse macabre par le peintre Martin Drölling, le Prince pénètrera dans la nuit profonde d’un atelier sépulcral, sale et sordide – antre de la goule ou de l’esthète rendu fou par la haine et ivre de son art...

    Sous la plume décadente d’Ewers, précurseur de la littérature horrifique, nous entrons dans un précieux moment d'épouvante ou le conte-à-faire-peur rencontre la Grande Histoire. Pour vous narrer cette ténébreuse légende qui murmure encore de nos jours un sinistre soupçon sur un tableau conservé au Musée du Louvre, nous avons invité Rémi Ethuin, comédien et Ami de la rédaction, à interpréter cette nouvelle en deux épisodes.

    Écriture : Joséphine Journel
    Lecture : Rémi Ethuin
    Montage et arrangements sonores : Nicolas Bousser & Julien Bousser
    Couverture : Le cœur et les os d'une cage thoracique humaine. Crayon et aquarelle. J.C Wishaw, 1854 © Wellcome Library

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    21 分
  • Napoléon vu par Abel Gance, la renaissance d'un chef-d'œuvre
    2024/09/15

    C’est un privilège rare et sans doute presque inédit dans l’histoire du cinéma de pouvoir rendre compte de la projection en première mondiale d’une version d’un film tourné en 1927. La Cinémathèque française et ses partenaires, au premier rang desquels figurent le CNC, Netflix, Radio France, France Télévisions, la Fondation Napoléon ou encore la Golden Globes Foundation, se sont proposés de nous offrir cette opportunité les 4 et 5 juillet 2024 à la Seine musicale en diffusant la Grande Version du Napoléon d’Abel Gance. Durant sept heures, oui nous parlons bien de sept heures, les spectateurs ont pu découvrir cette œuvre retraçant la jeunesse de Napoléon Bonaparte dans une version inédite se voulant au plus proche de ce que son auteur avait imaginé, accompagnés de l’orchestre de Radio France, de l’Orchestre National de France et du Chœur de Radio France, sous la direction de Frank Strobel. Coupe-File Art a eu la chance de participer à cet évènement et de s’en faire aujourd’hui l’écho.

    Introduction & réalisation : Nicolas Bousser
    Ecriture et voix : Aurélien Delahaie
    Musique et arrangements : Julien Bousser

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    11 分
  • Vita Sackville-West, un poème au jardin
    2024/06/22

    "Au Ritz, c'est l'heure du thé (…) Seule, sans bagages, immédiatement détachée de ce qui l'entoure, j'aperçois de dos une longue silhouette mince sous un grand chapeau de feutre : The Honourable Victoria Sackville-West est, pour un jour, l'hôte de Paris."

    C'est en ces termes que la journaliste Yvette Jeandet croque le portrait de Vita, aristocrate anglaise, poétesse, romancière, journaliste critique et gardener de génie dans Les Nouvelles Littéraires du 4 février 1939. Arrivée quelques jours auparavant en France, Vita avait accordé un entretien au sortir de la dernière réunion du Rapprochement Intellectuel. Ce cercle est alors présidé par le Duc d'Harcourt, qui l'invite à faire la promotion de son dernier ouvrage : Pépita, dangereuse gitane, une biographie de sa grand-mère. Alors que la rénovation du domaine de Sissinghurst bat son plein, elle tient à jour le Journal de mon jardin : ce même jardin qui, de nos jours, compte parmi les plus visités d'Angleterre. Dans ce traité publié à titre posthume se mêlent avec beaucoup de saveur des considérations d'horticulture, des descriptions poétiques et des portraits de fleurs qui ressemblent à s'y méprendre à des portraits de mœurs, d'une grande littérarité...

    Réalisation : Nicolas Bousser
    Ecriture et voix : Joséphine Journel
    Musique et arrangements : Julien Bousser

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    13 分
  • De la Maison La Roche à l'appartement-atelier de Le Corbusier
    2024/04/17

    Un après-midi d’août 2023, dans le 16e arrondissement de Paris. Au sortir de la station Jasmin, nous avançons dans la rue du Docteur Blanche. Bientôt, nous quittons la grande rue pour pénétrer dans une calme voie privée (impasse du Docteur Blanche) : verdoyante et peuplée de voitures rutilantes, la rue demeure habitée, témoignage d’une intense période de construction de luxueux logements fonctionnels. Au bout de l’impasse apparaissent bientôt les lignes géométriques blanches (enduit Cimentaline c’est-à-dire ocre jaune clair) d’une maison, ou plutôt, de deux maisons fusionnées : elles semblent nues, étant dénuées de la végétation qui se déploie sur toutes les autres habitations. Un panneau sur la porte prolonge cette ambiance intimiste : « Sonnez avant d’entrer » est-il écrit, comme si le propriétaire allait nous recevoir. Nous nous apprêtons à pénétrer dans l’une des premières réalisations de Pierre Jeanneret et Charles-Édouard Jeanneret-Gris, que nous connaissons mieux sous le nom de Le Corbusier : la maison La Roche !

    Réalisation : Nicolas Bousser
    Ecriture et voix : Juliette Gicquel-Molard et Nicolas Bousser
    Musique et arrangements : Julien Bousser

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    13 分
  • Walter Sickert alias Jack l'Eventreur ?
    2024/02/22

    Sept millions de dollars. C’est le prix à payer, selon la romancière américaine Patricia Cornwell, pour prouver la culpabilité d’un peintre. Durant de nombreuses années, l’auteur de polars à succès entreprend d’acquérir toiles et lettres exécutées de la main de l’artiste britannique Walter Sickert dans un seul et unique but : dévoiler la seconde identité du peintre impressionniste qui ne serait autre que Jack l’Eventreur. D’analyses ADN maladroites en conjectures alambiquées, les conclusions de son enquête parue en 2002 ne laissent selon elle pas de doutes, Walter Sickert n’est autre que le terrible tueur du quartier londonien de Whitechapel recherché depuis bientôt cent quarante ans… Soumis à de nombreux spécialistes de cette affaire criminelle et de biographes de l’artiste, l’exposé de Patricia Cornwell en laissa plus d’un sur leur faim. Alors, Walter Sickert alias Jack l’Eventreur ? C’est ce que nous allons voir…

    Réalisation : Nicolas Bousser 
    Ecriture et voix : Aurélien Delahaie et Nicolas Bousser
    Musique et arrangements : Julien Bousser

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    12 分
  • Au cœur de Montparnasse, le peintre Jean-Pierre Burgart dans l'atelier de Claude de Soria
    2024/01/10

    9h du matin, un dimanche d’hiver dans le quartier du Montparnasse. Quelques badauds arpentent les rues autour du carrefour Edgar Quinet pendant que d’autres boivent leur café matinal à la Coupole, au Sélect et à la Rotonde. La ville semble encore endormie et l’agitation n’est pas revenue sur le carrefour Vavin. Au 221 du boulevard Raspail, non loin de la rue Campagne-Première, une épaisse porte s’ouvre. Des bruits feutrés de pas se font entendre au fond de la cour. Ce sont ceux d'un peintre de 90 ans, Jean-Pierre Burgart, fils de l'actrice Orane Demazis et de Marcel Pagnol. Il expose quelques-unes de ses œuvres dans l'atelier de la sculptrice  Claude de Soria. Un lieu à découvrir ! 

    Ecriture et voix : Nicolas Bousser
    Réalisation : Nicolas Bousser et Julien Bousser 
    Musiques : Julien Bousser
    Avec la participation de Jean-Pierre Burgart et Alexis Consigny

    Pour visiter l'atelier de Claude de Soria : https://www.claudedesoria.com/

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    9 分
  • L'impasse Ronsin, de l'affaire Steinheil au Nouveau Réalisme
    2023/11/23

    31 mai 1908. Le jour est à peine levé, c’est l’ébullition dans une allée de 15e arrondissement. Au 6 bis, les corps sans vie du peintre Adolphe Steinheil et de sa belle mère, Madame Japy, viennent d’être retrouvés tandis que sa femme, Marguerite, est ligotée sur son lit. Les pendules de la maison se sont arrêtées à minuit douze. L’alerte a été donnée par Rémy Couillard, le domestique, à son réveil. L’homme n’a étrangement rien entendu durant la nuit, agitée par de très fortes pluies. L'impasse Ronsin connait l’une des heures les plus sombres de son histoire. Mais avant de faire la une des journaux nationaux dans un contexte bien macabre, l’impasse Ronsin est une calme voie nichée non loin de Montparnasse, en perpendiculaire des rues de Vaugirard et de Sèvres. D’abord assez résidentielle, les artistes vont rapidement s’y intéresser sous l’impulsion d’Alfred Boucher… 

    Réalisation : Nicolas Bousser
    Écriture et voix : Nicolas Bousser et Aurélien Delahaie 
    Musiques et pistes sonores : Julien Bousser
    Couverture : L’atelier Del Debbio dans l'impasse Ronsin, 1970. Bâle, Musée Tinguely.

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    6 分